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Le film « Hors-la-loi » du réalisateur Rachid Bouchareb a été projeté en avant première vendredi à la salle El Mouggar à Alger. « Hors-la-loi », qui représente l’Algérie à la 63ème édition du Festival international du cinéma de Cannes, sera projeté vendredi après-midi en compétition officielle. Ce long métrage de 2h18 mn évoque le résistance algérienne au colonialisme français menée par le Front de libération nationale (FLN) en France et son développement jusqu’à l’indépendance. Le film raconte l’histoire d’une famille algérienne, d’abord dépouillée de sa terre dans la région des Hauts plateaux, puis victime des massacres du 8 mai 1945. Trois frères survivants de ces massacres, Sami Bouadjila, dans le rôle d’Abdelkader, Djamel Debbouz (Said), Roshdy Zem (Messaoud) viennent s’installer avec leur mère, Chafia Boudraâ, à Nanterre en France.
APS
Vendredi dernier, le vice président de communication de Shell, Phaldie Kalam, organisait à Casablanca, une rencontre avec la presse pour expliquer les raisons du désinvestissement du groupe Shell International dans 21 pays d'Afrique dont le Maroc.
“La restructuration des activités de Shell en Afrique correspond à une volonté de concentration de Shell au niveau global et fait partie d'un mouvement similaire de désinvestissement dans plusieurs parties du monde, notamment l'Allemagne, la Grèce, la Nouvelle Zélande et la Suède. Shell veut se retirer de 15% de ses compagnies de raffinage et de 35% de ses activités de détail à travers le monde.”
Phaldie Kalam
Ce désinvestissement consiste à se concentrer sur des marchés plus porteurs, car “le capital de Shell est limité et ne peut pas être dilué sur de nombreux marchés” ajoute-t-il. En Afrique, par exemple, 50% de la rentabilité de Shell est concentrée uniquement en Afrique du Sud, et les 50% restants sont répartis dans le reste du continent, raison pour laquelle Shell ne quittera pas l'Afrique du Sud.
“La sécurité professionnelle des employés est garantie”
Dès l'annonce de la cession de ses activités, les employés de Shell ont organisé deux longs débrayages et une menace de grève illimitée. Cette réaction est normale de la part des employés, selon le représentant de Shell, parce qu'ils craignaient de perdre leurs emplois. Selon une information qui circule dans le milieu, plus de 750 employés sont menacés de perdre leurs emplois. Pourtant, le porte parole de Shell rassure en affirmant que ces rumeurs sont fausses, et même illogiques.
En effet, Shell ne vend pas ses actifs (véhicules, blocs, dépôts etc), mais ses actions.
“L'activité ne changera pas, c'est uniquement l'actionnaire qui changera. Le nouvel acquéreur se verra transférer toutes les obligations et conventions antérieurement signé par Shell avec ses employés, ses clients et ses fournisseurs. Ce dispositif sera appliqué dans les 21 pays d'Afrique d'où la multinationale se retire.”
Phaldie Kalam
Il ajoute qu'en cas de perte d'emploi, cela sera géré en fonction de la politique actuelle de départs de la société Shell du Maroc et en conformité avec la législation marocaine en la matière, ce qui n'implique nullement une hypothèse de licenciement de l'acquéreur.
Qui sera l'heureux successeur ?
“On ne le sait pas encore. Shell a lancé un appel d'offre récemment, et présente cette semaine ses activités aux acheteurs potentiels. Mais un premier groupe d'acheteurs a été identifié. Pour le deuxième groupe, nous étudierons les offres de prix.”
Phaldie Kalam
AUFAIT
En ce qui concerne le premier groupe d'acheteurs, il s'agit de Tamoil, Oil Lybia et Afriquia Gaz. Le plus offrant devra être un groupe spécialisé dans la distribution de carburant, mais surtout, insiste le représentant de Shell, qu'il ait les moyens financiers d'opérer dans toute la région africaine de laquelle le groupe se retire